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Prévoyons dès maintenant notre collaboration pour l’hiver 2025-2026.
L’hiver est la période idéale pour éliminer les Laurelles (Laurier-cerise) dans la nature, en forêt.
Les autres plantes envahissantes ont pour la plupart disparu jusqu’au printemps suivant, la végétation entre en dormance, et les Laurelles au feuillage persistant sont très facilement repérables, plus facilement accessibles.


Gallerie

Gallerie plantes envahissantes

Quelques plantes exotiques invasives très courantes en Suisse

Lutte contre les Laurelles.

Laurelles (Laurier-cerise)

Une inquiétante prolifération en forêt.

Le Laurier-cerise se répand en forêt pour plusieurs raisons. Les fruits sont appréciés de certains oiseaux (merles, étourneaux), qui peuvent disséminer des graines sur de grandes distances (par leurs déjections).

Le dépôt sauvage de déchets verts en lisière de forêt est également souvent responsable de cette dissémination.
Le Laurier-cerise peut repousser à partir d’une branche, un fragment de racine, et ainsi créer une nouvelle plante.

Une méthode inadaptée ou un manque de suivi dans l’arrachage des rejets peuvent aussi être source de problèmes futurs.
Lors de la coupe, les Laurelles ont la capacité de créer de nombreux rejets de souche et racinaires, et peuvent donc se multiplier rapidement. La meilleure solution, respectueuse de l’environnement, est donc le dessouchage, l’arrachage d’un maximum de racines et un suivi bien organisé.

Comment limiter les dépenses?

Remettre le problème à plus tard, c’est aussi augmenter les dépenses futures.
Les plantes de l’année s’arrachent très facilement, il suffit généralement de quelques secondes par plante, et une personne seule peut en arracher plusieurs centaines par jour.
Si on laisse les plantes se développer, l’année suivante la tâche est déjà plus difficile, et après quelques années, le système racinaire est tel qu’il faut un temps et des efforts considérables pour éliminer une plante et sa souche.
Arrivé à maturité, le Laurier-cerise peut mesurer jusqu’à 6 mètres et devient extrêment difficile à éliminer.

En hiver 2025-2026 éliminons un maximum de Laurelles en forêt

En agissant maintentant, efficacement, avec sérieux, et en éliminant les nouvelles plantes de façon précoce, nous pouvons très fortement réduire ce phénomène préoccupant et les dépenses futures.

Laurelles (Laurier-cerise)

Malgré les efforts de bénévoles, communes et propriétaires privés, les Laurelles (Laurier-cerise) continuent à envahir les forêts.

Méthodes de lutte

Renouée fauchée

Chaque espèce de plante exotique envahissante nécessite une méthode de lutte adaptée. Une bonne connaissance des différentes plantes, de leurs capacités de repousse et de prolifération  est souvent indispensable pour obtenir de bons résultats, et surtout ne pas aggraver la situation.

Nous savons tous que les plantes sont facilement disséminées par leurs graines, mais ce que l’on sait moins, c’est que certaines espèces sont capables de repousser à partir de minuscules fragments abandonnés sur le terrain.

Le meilleur exemple en est la Renouée du Japon qui peut repousser à partir d’un fragment de tige, de rhizome (partie souterraine) ou de racine d’environ 0,5 gramme.
Un fragment, par exemple resté collé dans une machine (tondeuse, débroussailleuse, etc.) peut être emmené à plusieurs kilomètres et risque ainsi de créer un nouveau foyer.

C’est pourquoi la fauche mécanique, bien que rapide et facile, est souvent une très mauvaise solution. L’arrachage et l’élimination des déchets sont bien plus efficaces et diminuent fortement les risques de dissémination.

Lorsque certaines espèces envahissent des surfaces trop importantes pour les éliminer par arrachage, il est possible de les faucher manuellement (Vergerette annuelle par ex.).
Les plantes peuvent ainsi être récupérées et éliminées facilement, et le matériel peut être aisément nettoyé pour éviter de contaminer de nouvelles surfaces.

Certains arbres envahissants, lorsqu’ils sont éliminés, peuvent produire une grande quantité de rejets  (parfois plus de 30 par arbre).
Après la coupe ou le dessouchage, un suivi est indispensable pour éliminer les rejets.

Nous appliquons les méthodes recommandées par les organismes officiels de la Confédération, du Canton, et n’utilisons aucun produit chimique.

Renouée fauchée
Renouée du Japon fauchée en lisière de forêt

Exemple en image d’une méthode totalement inadaptée que nous avons rencontrée:
Un foyer de Renouée du Japon fauché mécaniquement.
Des fragments ont été éparpillés en très grande quantité.
Quelques mois plus tard, de nouvelles plantes poussaient à plusieurs mètres du foyer d’origine.

Espèces prioritaires

Plantes envahissantes prioritaires canton de Vaud

Dans le canton de Vaud nous trouvons plus de 40 espèces de plantes néophytes envahissantes, dont 13 sont jugées prioritaires.

Liste des espèces prioritaires:

Ailante glanduleux, Ambroisie à feuilles d’armoise, Berce du Caucase, Buddleya de David, Bunias d’Orient, Impatiente glanduleuse, Laurier cerise (Laurelle), Renouée du Japon, Robinier faux accacia, Séneçon du Cap, Solidages Américains (Géant + du Canada), Sumac, Vergerette annuelle.

Cependant, il est fréquent que l’on découvre des foyers relativement importants de plantes ne figurant pas sur cette liste.

Chaque espèce présente des particularités et nécessite une approche adaptée pour ne pas risquer d’aggraver le problème.
Faire appel à une entreprise spécialisée c’est aussi permettre l’élimination de ces plantes de façon précoce, avant qu’elles ne causent de problèmes et de coûts trop importants.

Plantes envahissantes prioritaires canton de Vaud
Plantes néophytes envahissantes prioritaires dans le canton de Vaud

Pourquoi éliminer ces plantes?

Vergerette annuelle dans une prairie

Le Suisse compte environ 750 espèces de plantes néophytes (introduites après l’an 1500) dont près de 60 sont envahissantes et une trentaine sont potentiellement envahissantes.
La canton de Vaud compte à lui seul environ 40 espèces envahissantes, et 13 d’entre-elles sont jugées prioritaires.

Le principal problème est que ces plantes n’ont souvent pas de prédateurs naturels dans notre région (animaux, insectes, parasites), ce qui leur permet de se développer massivement dans la nature et concurrencer la flore indigène jusqu’à la faire disparaître.

Sur cette photo on peut voir que la Renouée du Japon a éliminé la quasi-totalité des autres espèces.

Quelques espèces envahissantes émettent des composés chimiques allélopathiques qui peuvent empêcher la germination des graines ou inhiber la croissance d’espèces concurrentes.
En quelques années, les plantes envahissantes peuvent éliminer totalement les espèces indigènes si importantes pour l’équilibre de la biodiversité.

Certaines plantes envahissantes peuvent également impacter la santé en causant allergies ou brûlures.
Des dégats sont également provoqués aux infrastructures, aux berges des rivières, et bien-sûr à l’économie.